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Le toiletteur assure les soins d'entretien (démêlage, shampooing,
produits antiparasites...),
les soins esthétiques, car il existe des modes pour la tonte et
la mise en forme du pelage. Il
connaît et respecte les standards de chaque race. Un caniche ne se
toilette pas comme un
bichon, ni comme un cocker. Un chien à poil ras (boxer, braque...)
est brossé une à deux
fois par mois, ceux à poil dur, mi-long ou laineux (fox, setter,
cocker, caniche...), une à deux
fois par semaine.
L'engouement pour tel ou tel type de chien suscitera alors l'ouverture
de nombreux salons
de toilettage... ou leur fermeture.
Ne pas outrepasser ses compétences
La profession n'étant pas réglementée, il importe
de ne pas empiéter sur l'activité des
autres professionnels qui s'occupent d'animaux. Pas plus que les assistants
vétérinaires
n'ont à faire d'épilation ou de nettoyage de conduits auditifs,
les toiletteurs n'ont à soigner
ni les coupures, éraflures, abcès, saignements..., ni à
administrer des anesthésiques ou
des médicaments. Cela contribuera à maintenir de bons rapports
de coopération avec les
vétérinaires (échanges de clientèle...).
Pour les activités de vente, qui représentent parfois 50
% du chiffre d'affaires, le toiletteur
se limitera aux accessoires pour animaux. Le commerce des chiots n'est
pas du ressort du
toiletteur, mais de l'éleveur...